L’église catholique ayant opté depuis le concile Vatican 2 pour une liturgie dans la langue des fidèles, on aurait pu imaginer que les compositeurs d’aujourd’hui de musique sacrée délaissent le latin . Mais certains semblent rester attachés à la langue traditionnelle de l’église. C’est notamment le cas d’Ola Gjeilo, compositeur norvégien et certains de ses confrères de la même génération comme l’américain Eric Whitacre, le letton Ericks Esenvalds et l’anglais Philip Stopford, tous nés dans les années 70.